Une nouvelle plateforme de traitement de paiements voit le jour avec une capacité d’action d’un million de transactions par seconde. Les transactions prennent moins de 2 secondes, ce qui constitue un avantage clé.

La Blockchain dans le domaine des produits et services monétaires

Un service Blockchain nouvellement développé par Mitsubishi UFJ Financial Group Inc (TYO: 8306) et Akamai Technologies, Inc, a été annoncé dernièrement.

En moins de deux secondes, un million de transactions peuvent se faire avec l’amélioration apportée par les deux entreprises.

Le nouveau fournisseur sera accessible durant 2019. MUFG est riche d’expériences, en matière d’organisation de paiement, une expertise qui lui est plus qu’utile dans le développement du service déployé. La plateforme de diffusion Cloud d’Akamai renferme de solides profils en ingénierie de la Blockchain pour concrétiser les plans d’action, issus de cette collaboration effective.

De nombreux projets de recherche se sont principalement concentrés sur le réseau à haute vitesse d’Akamai et les technologies informatiques dispersées. MUFG et Akamai ont expérimenté l’utilisation de la technologie Blockchain dans des conditions raisonnables. Les résultats ont été des plus satisfaisants, à l’issue de laquelle la plateforme d’Akamai a prouvé sa capacité à traiter des transactions en moins de 2 secondes – avec un million de transactions par seconde.

Une nouvelle interface inclura des fonctions de transfert et d’administration de la Blockchain. Les coûts de transaction de tous les services de paiement confondus vont être réduits au maximum.

La technologie Blockchain a déjà été utilisée par MUFG auparavant. L’entreprise a élaboré un prototype de preuve de concept pour un Know Your Customer (KYC), un processus de vérification de l’identité d’un client, en collaboration avec Chinese Banking Corp. Limited (SGX: O39), HSBC et l’Infocomm Media Advancement Authority (IMDA) en novembre dernier.

Faciliter l’accès sécurisé

La chaîne KYC permet l’accumulation, la validation et le partage des informations des acheteurs et le consentement des clients, et ce, de manière précise, efficace et sécurisée. Il y aura moins de risques de duplication d’informations et de fait d’acheteurs. Aussi, le besoin de contrôle manuel sera considérablement réduit pour les deux institutions financières et les acheteurs.

La validation des informations clients se trouve alors grandement facilitée. Les documents étant cryptés sur le registre du grand livre distribué, la consultation des registres du gouvernement fédéral, des autorités fiscales et des agences de notation s’opère en toute transparence. Les institutions financières ont également la possibilité de garder les enregistrements numériques sécurisés du plan d’action de validation sur la plateforme KYC partagée. L’audit et les rapports de réglementation sont alors rationalisés.

Le protocole a été examiné en février et mai, l’année dernière, afin de s’assurer du maintien de ses performances générales, sa fonctionnalité, son évolutivité et sa protection. Le système est stable et infalsifiable, malgré la fluctuation et le mouvement des informations en masse. La confidentialité a été préservée et l’authentification déclarée fiable.

Dans la même veine, notons ailleurs l’existence du projet KYC.Legal, qui a réalisé son ICO, et qui permettra une vérification biométrique de l’identité des utilisateurs. Ailleurs encore, et non sans lien, le fournisseur d’une solution Saas pour la réalisation d’ICO, ICOBox, propose son ICOS ID qui permet de ne faire vérifier son identité qu’une seule fois pour toute afin de participer ensuite plus rapidement à des ICO.

Que pensez-vous du partenariat entre MUFG et Akamai créant une plateforme de paiement qui traite un million de transactions par seconde ? Dites-nous dans la section des commentaires ci-dessous.

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