Alex Jones – fondateur d’Infowars – a été censuré de plusieurs plateformes sociales en 2018. Il s’est alors éclipsé des projecteurs, mais revient en force avec une récente interview accordée au podcast Joe Rogan Experience.

5 millions de dollars pour influencer le prix du Bitcoin

Le podcast de Joe Rogan dans lequel Alex Jones est intervenu a été visionné près de 3,3 millions de fois. Réalisé le 27 février, il fait sensation avec une déclaration choquante de Jones sur le Bitcoin.

George Soros aurait offert 5 millions de dollars à Jones pour qu’il manipule le prix du Bitcoin en 2011. Bien que cette figure de controverse ait refusé l’offre, la nouvelle a provoqué un tollé sur les plateformes de réseaux sociaux.

Les deux hommes ont commencé la conversation avec quelques théories du complot. Ils ont ensuite évoqué la manière dont le monde changera à l’avenir.

George Soros a toujours été au centre des théories du complot. Le fait qu’il ait pu tenter de manipuler le prix de la crypto-monnaie numéro 1 choque la communauté.

« Il y a huit ans, deux personnes différentes, deux riches très connus, m’ont dit : George Soros vous aime bien. Il veut travailler avec vous.. Alexander Soros… vous devez juste arrêter de l’attaquer… et au fait, nous voulons que vous manipuliez le prix du Bitcoin », a expliqué Jones.

« On m’a offert, à l’époque, 5 millions de dollars en Bitcoin. Je l’ai refusé il y a huit ans. »

Les crypto-monnaies sont là pour rester

Jones a mené un discours nuancé sur les monnaies numériques.

S’adressant à Soros, Jones a affirmé :

« Je crois aux crypto-monnaies. Je pense qu’elles représentent l’avenir. Nous avons une réserve fédérale privée qui semble avoir tout pour plaire – je ne juge personne, je dis juste : restez sur vos gardes. »

Bien qu’il reconnaisse le potentiel de la technologie Blockchain et du Bitcoin, il se méfie naturellement de tout ce qui est présenté comme un produit de base.

Que pensez-vous de cette manipulation du prix du BTC ? Donnez-nous votre avis dans la section des commentaires ci-dessous.