Après le Brexit, le Royaume-Uni continuera la lutte contre le blanchiment d’argent via les crypto-monnaies avec l’Union Européenne, tout en promouvant la levée de l’anonymat.
Une lutte intemporelle contre le blanchiment d’argent avec le Royaume-Uni
La crypto-monnaie est un secteur très sensible à la criminalité, et depuis sa démocratisation, les Etats de l’Union Européenne ont convenu d’ériger un système de répression et de prévention contre les menaces qu’elle engendre.
Le potentiel de la crypto-monnaie revêt une menace pour la sécurité des citoyens européens dans le sens où son caractère anonyme facilite les activités douteuses, voire terroristes.
Dans le cadre de sortie du Royaume-Uni du conglomérat européen, la déclaration politique sommaire a donc mentionné la continuité de la coopération pour lutter contre le blanchiment d’argent ou encore les financements du terrorisme via les crypto-monnaies, conformément aux dispositions de MLD5 (5ème directive sur le blanchiment d’argent).
Une disposition qui fait débat
Suivant la déclaration de continuer la coopération pour lutter contre le blanchiment d’argent avec le Royaume-Uni, les parties seront assignées à des tâches axées vers la transparence, dont la levée de l’anonymat associé à l’utilisation de monnaies virtuelles.
Si tel est le cas, les crypto-utilisateurs de l’Union Européenne avec la Grande Bretagne s’attendront ainsi à exposer leurs identités et leurs activités dans les blockchain. Si cette déclaration se poursuit d’actions, cela ne manquera pas de faire rager la crypto-communauté. L’anonymat est une caractéristique primordiale de la Blockchain et de la crypto-monnaie, et beaucoup y voient un avantage.
Que pensez-vous de cette dernière déclaration ? Réagissez dans la section des commentaires.
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