La JVCEA, la Japan Virtual Currency Exchange Association, l’organisation officielle d’auto-régulation de la crypto-industrie japonaise, compte désormais trois nouveaux membres de seconde classe à son actif, dont la crypto-bourse Coinbase.
Les exploits de Coinbase ne sont pas très intéressants au Japon
Les sociétés Coinbase, Digital Asset Markets ainsi que Tokyo Hash se sont inscrites auprès de la JVCEA en tant que membres de seconde classe.
A titre de rappel, les membres de seconde classe de l’agence disposeraient de la faculté de s’enregistrer en tant que sociétés de change de crypto-monnaies, ou encore en tant qu’entreprises envisageant d’offrir ce service dans le pays.
Bien que Coinbase ait obtenu l’autorisation d’opérer sur le territoire japonais depuis l’année dernière, la société de change de crypto-monnaies n’avait enregistré que des résultats peu satisfaisants.
Elle essaie toutefois de rattraper son retard pour regagner le marché japonais et s’étendre sur le plan international, et en choisissant comme allié les grands noms de l’industrie japonaise, notamment la Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ.
Ce n’est pas le cas dans les autres pays
Coinbase ne trouve pas faveur auprès des Japonais. Pourtant, la société a en effet réussi à obtenir une licence d’exploitation de la part de la Banque centrale d’Irlande au mois d’octobre de l’année dernière.
Elle a pu également s’inscrire en tant que courtier auprès de la SEC, la Securities and Exchange Commission, l’autorité de régulation du pays, au mois de juin de l’année d’avant.
Des bruits courent concernant un projet de lancement d’une bourse japonaise, mais la société a préféré garder le silence concernant ce sujet.
Pensez-vous que l’adhésion de Coinbase à l’organisation officielle d’auto-régulation de la crypto-industrie pourrait constituer un tremplin pour son implémentation au Japon ? Faites-nous part de votre avis dans la section commentaire ci-dessous.
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