Hyundai Heavy Industries investirait 6 milliards de dollars par an dans la Blockchain
Le plus grand constructeur naval du monde, Hyundai Heavy Industries, continue de développer sa plateforme Blockchain baptisée HiPRO pour gérer ses activités depuis les usines d’assemblage jusqu’à la commercialisation. D’après les informations relayées par Hanguk Kyugjae, la société projette de traiter 6 milliards de dollars pour des négociations, contrats, paiements et autres activités à partir de la plateforme.
Une Blockchain implacable pour Hyundai Heavy industries
Les opportunités offertes par la Blockchain dans le secteur de la logistique ne sont plus à présenter.
Pour de grandes enseignes comme IBM, Walmart et autres entreprises de distribution en chaîne, la technologie promet une transparence unique et une gestion organisée et sécurisée qui faciliteraient le contrôle des données et des activités.
Dans cette perspective, Hyundai Group poursuit ses efforts pour lancer sa propre Blockchain qui sera d’ailleurs utilisée par Huyndai Heavy Industry, le plus grand constructeur naval du monde.
Cette plateforme baptisée HiPRO gèrera la chaîne de production de la société depuis les usines, les achats, la logistique des matériaux jusqu’aux contrats de négociation, d’encaissement et de paiement.
Le ministère des Sciences derrière la Blockchain
Outre Hyundai, qui s’est profondément investi dans cette technologie via ses filiales à l’instar de Hdac Technology qui commercialisera une crypto-monnaie pour les constructions, l’immobilier et le financement de production, d’autres projets sud-coréens sont en cours de développement, et ce, grâce à l’appui du ministère de la Science, de la Technologie et de l’informatique.
Effectivement, cette institution politique en collaboration de l’Agence Coréenne de Développement de l’Internet (KISA) a annoncé un programme d’évaluation « des progrès de 15 projets pilotes publics et privés en cours, à base de Blockchain ».
Que pensez-vous de ce projet Blockchain préparé par Hyundai ? Donnez votre avis dans la section commentaires.