IOTA propose une norme de géolocalisation pour ses transactions
IOTA vient d’introduire une nouvelle norme permettant aux applications basées sur sa plateforme « d’ être construite autour de régions géographiques », soit de localiser des transactions dans une zone géographiquement étendue.
Des transactions géo-tag
Pour localiser une opération antérieurement, il a fallu enregistrer la transaction auprès d’un service centralisé collectant des données géographiques, afin de rechercher des transactions liées à un domaine.
Aujourd’hui, grâce à l’introduction des indicatifs régionaux IOTA, IAC, qui sont des codes de localisation courts codés sur plusieurs séquences, il est désormais possible de localiser une transaction IOTA sur une zone de 2,8 m sur 3,5 m qui peut s’étendre à partir de la norme proposée par la plateforme.
Les IAC sont une copie directe des Open Location Codes , également appelés Plus Codes, proposés par Google Zurich en 2014. Quelques modifications mineures ont été apportées pour le rendre compatible avec IOTA.
Couvrir de grandes zones ?
IOTA cherche à prouver la véritable valeur de ce système qui a la capacité de localiser des transactions dans de grandes zones géographiques qui peuvent aller sur 100 km.
Pour plus de précisions quant à l’emplacement de la transaction, les utilisateurs peuvent ajouter des paires de caractères, jusqu’à 5 paires, au code IAC.
Chaque paire en plus représente 400 fois plus de précisions.
Par ailleurs, la norme prévoit des améliorations par la création de requêtes d’extraction via cette bibliothèque Github qui permet l’encodage et le décodage des données de localisation.
Que pensez-vous de cette nouvelle norme introduite par IOTA ? Partagez-nous votre opinion dans la section commentaire ci-dessous.
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