Volvo cars contrôle ses matières premières via la Blockchain

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5 août 2019 par Victor

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La firme Volvo Cars, une propriété du groupe chinois Geely, s’est rangée du côté de la Blockchain pour affecter une transparence plus approfondie dans la production de ses voitures. En exploitant le cobalt issu du Congo, Volvo affiche un suivi responsable en traçant l’origine et la destination des matériaux depuis les minerais jusqu’aux usines de fabrications.

Une exploitation légale et contrôlée

Le Cobalt est une ressource minière qui trouve de plus en plus d’importance dans l’industrie automobile. Extrait dans les minerais africains, son exploitation est souvent décriée par les organisations internationales pour des raisons légales et notamment pour l’asservissement des enfants mineurs.

Volvo Cars a ainsi décidé d’incorporer une technologie de contrôle des chaînes de production en utilisant la Blockchain comme outil de traçage.

Suivant la déclaration de la firme, ses premières voitures électriques produites avec du Cobalt ont été suivies à partir de cette technologie pour « une transparence totale et une traçabilité ».

Volvo rejoint les autres constructeurs dans le projet RCS Global

A l’aube d’une transition de la technologie automobile vers les voitures électriques, les constructeurs cherchent à initier une attitude plus responsable dans l’exploitation des matières premières et notamment du cobalt, élément basique irremplaçable pour les piles.

Dans cette perspective, Volvo s’est résolu à rejoindre la ligue de firmes affiliées à la RCS Global, un groupe responsable des achats et des approvisionnements de matières premières dont la majeure partie étant originaire de la RDC.

Que pensez-vous de l’usage de la Blockchain comme outil de transparence dans l’exploitation des minerais de cobalt vers les usines de construction automobile ? Donnez votre avis dans la section commentaires.